La matinée a commencé par sept présentations sur les défis de divers projets, de la surveillance à haute fréquence des lacs à la construction d'électrodes sélectives d'ions capables de mesurer l'ammoniac dans des environnements difficiles. En outre, certaines idées ont été discutées sur la façon de construire une plate-forme de capteurs flottants intégrée pour mesurer directement les changements dans la composition de l'eau, ainsi que sur les moyens de développer un accès à distance à une boîte à ferry construite sur mesure sur le lac Tanganyika. En ce qui concerne les capteurs, la qualité des tests de pH a fait l'objet de présentations, ainsi que diverses applications de mesure par l'image et de traitement des données vidéo. Enfin, les avantages et les inconvénients de diverses options de mesure à distance ont été expliqués, par exemple par satellite ou par radio à basse énergie.

L'après-midi, divers ateliers pratiques ont été organisés sur les applications actuelles de l'électronique et de l'exploitation forestière, y compris une brève introduction à la plate-forme Arduino et l'identification des éléments nécessaires pour mettre en œuvre efficacement un système fonctionnel, par exemple dans LabVIEW Embedded.

Il a été à nouveau enrichissant de jeter un coup d'œil dans les coulisses d'autres projets. La conclusion la plus importante de cet échange est qu'il n'existe pas de solution standard pour gérer et accéder aux données de nos stations de surveillance à distance. Néanmoins, l'Eawag dispose désormais d'une gamme de technologies et des outils nécessaires pour développer de bonnes solutions aux défis de mesure sur le terrain.